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Perséphone
19 mars 2018
In Actualité anti-gaspi
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Perséphone
19 mars 2018
In Actualité anti-gaspi
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Perséphone
19 mars 2018
In Actualité anti-gaspi
Les produits alimentaires préemballés comportent une mention indiquant la date limite de consommation (DLC) ou la date de durabilité minimale (DDM). Pour éviter le gaspillage alimentaire, il est nécessaire de bien les comprendre. Les produits alimentaires vendus dans un conditionnement doivent indiquer un délai pour la consommation. Les denrées périssables, à conserver au frais (la température de conservation est indiquée clairement sur l’étiquetage) présentent généralement une date limite de consommation (DLC). Cette DLC est indiquée sur le conditionnement par la formule « À consommer jusqu’au...  ». Elle s’applique à des produits susceptibles, après une courte période, de présenter un danger pour la santé humaine, comme la viande vendue en barquette par exemple. À l’inverse, certains produits stérilisés ou présentant une faible teneur en eau comportent une date de durabilité minimale (terme qui a remplacé la date limite d’utilisation optimale (DLUO) depuis la mise en application du Règlement (UE) n°1169/2011 concernant l’information du consommateur sur les denrées alimentaires au 13 décembre 2014. C’est le cas par exemple des gâteaux secs, ou encore des boites de conserve. Une fois la date passée, la denrée ne présente pas de danger mais peut en revanche avoir perdu tout ou partie de ses qualités : goût, texture... Sur le conditionnement, la DDM est indiquée par la formule « À consommer de préférence avant...  ». Le dépassement de la DDM ne rend pas l’aliment dangereux : l’aliment peut donc encore être commercialisé et consommé. Il n’est pas nécessaire de jeter les produits concernés quand la DDM est dépassée, sauf en cas d’altérations du produit. Les produits non secs (purées, jus, sauces, compotes, etc.) comportent également une DDM : cela signifie que ces produits peuvent être conservés très longtemps mais une fois ouverts, ils doivent être conservés au frais et consommés très rapidement. La DLC et la DDM sont avant tout des mesures de prévention des risques d’infections d’origine alimentaire. Comment définit-on la date de péremption ? La date de péremption ne dépend pas seulement des caractéristiques des aliments. La qualité des matières premières, le site de production, le degré de maîtrise de la technologie mise en œuvre, le circuit de distribution … entrent aussi dans la détermination de la date de péremption. source : http://agriculture.gouv.fr/antigaspi-tout-savoir-sur-les-dates-limites-de-consommation
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Perséphone
19 mars 2018
In Actualité anti-gaspi
« Lutter contre le gaspillage alimentaire », un sujet qui mobilise toujours autant le grand public que les professionnels désormais engagés dans la mise en place d’un nouveau pacte sur la période 2017-2020. Si l’interdiction de la destruction des invendus ou la manière de favoriser le don sont des acquis de la loi de 2016, Guillaume Garot, président de cet atelier, a l’intention d’aller plus loin encore pour renforcer la dynamique des groupes de travail opérationnels. Les sujets abordés 4 pistes de travail ont été soumises aux participants : Un vrai travail de chacun sur la dimension locale. Partant du constant que c’est à l’échelle du territoire qu’on peut agir, comment faire pour favoriser cet aspect essentiel de l’action qu’est le territoire ? D’autres ateliers approfondiront les Projets alimentaires territoriaux (PAT), mais il semble intéressant de voir comment les pouvoirs publics (collectivités, État…) peuvent intégrer la question du gaspillage alimentaire dans ces projets ? Comment susciter l’action, encourager l’innovation, la soutenir et la financer ? La dimension éducative au sens large liée à la question du gaspillage ? Comment associer autant le citoyen que le consommateur aux actions de sensibilisation ? Savoir ce que l’on exige en matière d’éducation des enfants dans ce domaine ? Favoriser les actions de sensibilisation et d’éducation et imaginer quelle forme cela doit prendre et quels outils inventer pour être efficace ? La place des professionnels dans la lutte contre le gaspillage ? On constate une réelle envie de s’engager chez les industriels et les artisans, mais le problème tient souvent à la façon dont on accompagne ceux qui souhaitent participer à la lutte contre le gaspillage alimentaire et comment on les aide ? Qu’il s’agisse de formation initiale ou continue chez les salariés. Nous avons à la fois besoin d’outils de formation et d’accompagnement pour développer des actions dans le temps. Les évolutions réglementaires voire législatives. Il faut certainement effectuer un inventaire des verrous qui seront identifiés dans ce domaine, comme par exemple la question du GEMRCN (Groupement d’étude des marchés en restauration collective et de nutrition). Un effort de clarification est nécessaire tant au niveau national qu’européen pour qu’on puisse faire des propositions Guillaume Garot expose ainsi la manière dont il conduit les travaux : « Les réunions se passent bien, même si la contrainte temporelle est forte pour faire en sorte que nous ayons en un mois et demi des propositions pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Nous avons réussi à resserrer les sujets sur lesquels on veut indispensablement intervenir. On parlera éducation des enfants, formation des professionnels. On évoquera la dimension territoriale pour être efficace dans la lutte contre le gaspillage alimentaire en lien avec les plans alimentaires territoriaux et on abordera enfin la question des évolutions réglementaires et législatives indispensables. Au sortir de la réunion j’ai senti une vraie mobilisation de ceux qui participent et qui ont envie de travailler, d’avancer et surtout de proposer ensemble. Il faudra que nous puissions faire bouger les lignes sur la réglementation aussi bien au plan national qu’au niveau européen. J’ai bon espoir qu’on puisse avoir des préconisations utiles ». Guillaume Garot, son parcours Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris. Il est d’abord chargé de mission dans une association nationale pour le développement économique local (CRIDEL), avant de travailler aux côtés de Daniel Vaillant, en qualité de directeur de cabinet à la mairie du 18e arrondissement à Paris, puis comme conseiller, au ministère de l’Intérieur. En 2002, il rejoint Bertrand Delanoë à la mairie de Paris. Élu conseiller municipal à la mairie de Laval, en 2001, il devient conseiller général de la Mayenne (canton de Laval Sud-Ouest), en 2004. En 2007, il devient député de la Mayenne et membre de la commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire dans un premier temps, puis de la commission de la défense nationale et des forces armées. Élu maire de Laval en 2008. Le 21 juin 2012, il est nommé ministre délégué à l’Agroalimentaire. Guillaume Garot s’est fait connaître pour son engagement dans la lutte contre le gaspillage alimentaire. En tant que ministre délégué, il avait présenté le pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire dont les mesures étaient issues de réflexions antérieures par ce même ministère. Le pacte national répond aux objectifs de l’Union européenne visant à diviser le gaspillage par deux d’ici 2025. Un nouveau rapport sur le gaspillage alimentaire a été publié le 14 avril 2015. Il s'inscrit dans le cadre du projet de loi sur la transition énergétique pour la croissance verte. Il est à l’origine de la loi contre le gaspillage alimentaire votée à l’unanimité de l’Assemblée nationale et du Sénat en février 2016. Depuis le 27 octobre 2016, Guillaume Garot est président du Conseil national de l’alimentation(CNA). source : http://agriculture.gouv.fr/egalim-lutter-contre-le-gaspillage-alimentaire
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Perséphone
19 mars 2018
In Actualité anti-gaspi
Lundi 16 octobre 2017 En France, les pertes et gaspillages alimentaires représentent 10 millions de tonnes de produits par an, soit une valeur commerciale estimée à 16 milliards d’euros. Ce gaspillage représente un prélèvement inutile de ressources naturelles, telles que les terres cultivables et l’eau, et des émissions de gaz à effet de serre qui pourraient être évitées. Ces dernières sont évaluées par l’ADEME à 3 % de l’ensemble des émissions nationales. Ce sont également des déchets qui pourraient être évités,qui n’auraient donc pas à être traités et n’engendreraient pas les coûts de gestion afférents. Toutes les étapes de la chaîne alimentaire, production, transformation, distribution et consommation, participent aux pertes et gaspillages alimentaires. L'étude de l'Ademe sur l'état des lieux des masses de gaspillages alimentaires et de sa gestion aux différentes étapes de la chaîne alimentaire montre que la répartition de ces pertes et gaspillages est la suivante: 32 % en phase de production, 21 % en phase de transformation, 14 % en phase de distribution et 33 % en phase de consommation. Pour la phase de consommation, cela représente 29 kg par personne et par an de pertes et gaspillages au foyer (dont 7 kg de déchets alimentaires non consommés encore emballés), auxquels s’ajoutent les pertes et gaspillages générés en restauration collective ou commerciale. Etude Ademe - Etat des lieux des masses de gaspillages alimentaires et de sa gestion aux différentes étapes de la chaîne alimentaire Le pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire Signé en 2013 entre l’Etat et les représentants des acteurs de la chaîne alimentaire, le pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire comporte 11 mesures fondées sur l’engagement de l’ensemble de ces acteurs (producteurs agricoles, marchés de gros, industries agroalimentaires, grande distribution, restauration collective et commerciale, collectivités territoriales). Il fixe notamment l’objectif national de réduction du gaspillage alimentaire à 50 % à l’horizon 2025, soit une diminution moyenne annuelle de 5% par an entre 2013 et 2025. En avril 2017 a été lancé le nouveau pacte, qui s’étale sur la période 2017-2020 et regroupe 5 ministères et 55 partenaires. Il se compose de 6 groupes de travail : GT 1 : Indicateurs et mesure du gaspillage GT 2 : Dates de péremption GT 3 : Gestion des invendus et don alimentaire GT 4 : Innovation, efficacité et partenariats GT 5 : Éducation, formation, sensibilisation GT 6 : Europe et international Pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire sur le site du Ministère de l'agriculture de l'alimentation La loi n°2016-138 du 11/02/2016 relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire La loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire, promulguée le 11 février 2016, complète les dispositions de la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte relatives au gaspillage alimentaire. Ses deux mesures principales concernent les distributeurs de produits alimentaires. Cette loi prévoit en effet : l’obligation, pour les magasins alimentaires de plus de 400 m2, de proposerune convention de don à des associations pour la reprise de leurs invendus alimentaires encore consommables ; l’interdiction, pour les distributeurs alimentaires, de rendre impropres à la consommation des invendus encore consommables. La loi prévoit par ailleurs les mesures suivantes : l’inscription dans le code de l'environnement d’une hiérarchie des actions de lutte contre le gaspillage alimentaire : la prévention du gaspillage alimentaire ; l'utilisation des invendus propres à la consommation humaine, par le don ou la transformation ; la valorisation destinée à l'alimentation animale ; l'utilisation à des fins de compost pour l'agriculture ou la valorisation énergétique, notamment par méthanisation. l’inclusion, dans la politique de lutte contre le gaspillage alimentaire, d’actions de sensibilisation et de formation de tous les acteurs, de mobilisation des acteurs au niveau local, d’une communication régulière auprès des citoyens, en particulier dans le cadre des programmes locaux de prévention des déchets ; l’interdiction, pour un opérateur du secteur alimentaire, de s’opposer au don de denrées alimentaires vendues sous une marque distributeur à une association caritative habilitée ; l’information et l’éducation à la lutte contre le gaspillage alimentaire dans les écoles ; l’intégration de la lutte contre le gaspillage alimentaire dans le reportingsocial et environnemental des entreprises. Loi n° 2016-138 du 11 février 2016 relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire La lutte contre le gaspillage alimentaire en restauration collective Des actions doivent être entreprises dans la restauration scolaire, universitaire et administrative pour diminuer le gaspillage alimentaire, conformément à l’article suivant du code de l’environnement, introduit par la loi n° 2015-992 du 17 août 2015 relative à la transition énergétique pour la croissance verte : « Art. L. 541-15-3. – L’Etat et ses établissements publics ainsi que les collectivités territoriales mettent en place, avant le 1er septembre 2016, une démarche de lutte contre le gaspillage alimentaire au sein des services de restauration collective dont ils assurent la gestion. » L’Ademe a réalisé un guide pratique à ce sujet, qui permet d’accompagner les acteurs publics, mais aussi privés, à établir des diagnostics et des plans d’actions de lutte contre le gaspillage alimentaire au sein de leurs services de restauration collective. Des actions relativement simples et de bon sens (ex : distribuer le pain non pas à l’entrée du self, mais vers les caisses, et le rendre payant) ainsi que des actions de sensibilisation du personnel et des convives (notamment pour ajuster les portions aux besoins réels) permettent d’atteindre assez rapidement des résultats significatifs. Guide pratique Ademe "Réduire le gaspillage alimentaire en restauration collective" Pour aller plus loin Site public consacré à la lutte contre le gaspillage alimentaire Rubrique « anti-gaspi » du site du ministère chargé de l’agriculture Guide Ademe "Manger mieux, gaspiller moins" (édition juin 2016) Etude Ademe sur l’"Etat des lieux des masses de gaspillages alimentaires et de sa gestion aux différentes étapes de la chaîne alimentaire" (mai 2016) Rubrique "Manger mieux en respectant l’environnement" du site Ademe La lutte contre le gaspillage alimentaire, un axe de travail des états généraux de l’alimentation : Annoncés par le Président de la République en juin dernier, les États généraux de l’alimentation visent à relancer la création de valeur et en assurer l’équitable répartition, accompagner la transformation des modèles de production afin de répondre davantage aux attentes et aux besoins des consommateurs, et enfin promouvoir les choix de consommation privilégiant une alimentation saine, sûre et durable. Un atelier est consacré à la lutte contre le gaspillage alimentaire, dans le cadre du second chantier "alimentation saine et durable". Pour plus d'information, consulter le site des états généraux de l'alimentation  : Les États généraux de l'alimentation Source : https://www.ecologique-solidaire.gouv.fr/gaspillage-alimentaire-0
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Perséphone
19 mars 2018
In Trucs et astuces anti gas
https://www.comment-economiser.fr/19-facons-de-reutiliser-capsules-de-nespresso.html
Ne Jetez Plus les Capsules Nespresso content media
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Perséphone
19 mars 2018
In Actualité anti-gaspi
Belle initiative !  content media
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Perséphone
19 mars 2018
Plastiques, lorsque nos déchets valent de l'or  content media
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Perséphone
29 janv. 2018
In Trucs et astuces anti gas
Désormais gardez vos bouchons en liège ! Les faire tremper dans de l'alcool à bruler, dans un bocal en verre. Les laisser tremper minimum 15 jours et jusqu’à utilisation !
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Perséphone
29 janv. 2018
Une seconde vie pour vos bouchons  content media
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Perséphone
29 janv. 2018
In Trucs et astuces anti gas
Appâts de pêche gratuits et écologiques content media
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Perséphone
29 janv. 2018
Aliments périmés mais mangeables content media
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Perséphone
29 janv. 2018
Comment savoir si un œuf est cru ou cuit content media
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Perséphone
29 janv. 2018
Réparer une chaussure à talon  content media
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Perséphone
13 juin 2017
In Actualité anti-gaspi
http://www.comment-economiser.fr/nous-avons-atteint-point-non-retour-changement-climatique.html
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Perséphone
01 avr. 2017
In Trucs et astuces anti gas
Une petite astuce qui fera le plus grand bien à vos plantes et économisera l'eau ! Ne jeter plus l'eau qui a servi à laver vos légumes, car elle est désormais remplie de sels minéraux que vos plantes apprécieront !
Ne jetez pas l'eau qui a servi à laver vos légumes content media
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Perséphone
01 avr. 2017
In Trucs et astuces anti gas
C 'est un très bon activateur de fosses septiques. En mettre 2 dans la fosse de préférence ou le WC (sans emballages)Fréquence conseillée : 4 fois par an ou plus si possible.
Yaourts a dates dépassées content media
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Perséphone
01 avr. 2017
In Actualité anti-gaspi
Cliquez sur le lien ici
Pourquoi faut il réduire ses déchets ?  content media
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Perséphone
30 janv. 2017
In La taverne
Si vous souhaitez aborder des sujets qui vous tiennent à cœur c'est ici ! n'hésitez pas à ouvrir un post si le sujet n'existe pas sur le forum.
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Perséphone
30 janv. 2017
In Trucs et astuces anti gas
La lessive naturelle avec la cendre de bois de votre cheminée ou autre. Tamiser la cendre. Mettre un volume de cendre tamisé avec 2 volumes d'eau (de pluie de préférence) dans un seau (ou autre contenant) en plastique (pas de métal). Tourner 2 fois par jour pendant 6 jours Le 7ème jour filtrer avec passoire et chiffons (tissus assez serrés et doublés) dans un récipient en plastique. Laisser reposer quelques d'heures, un petit dépôt au fond se fera. Mettre en bouteilles, bidons en plastique en prélevant la louche le liquide sans remuer le fond Garder la pâte de cendre dans un bocal (verre ou plastique) pour faire la vaisselle à la main (mettre des gants) très bon dégraissant et aussi pour les plats qui ont attachés. Jeter le reste de la pâte de cendre dans le jardin, celle ci l'enrichira. La couleur de la lessive obtenue dépend du bois brûlé. Elle va du beige au gris plus ou moins foncé. Votre lessive est un liquide visqueux qui contient de la potasse, qui n'a pas d'odeur. Pour tous types, couleurs de linge et températures. Mettre 100 ml (un verre de cantine) pour une machine de 5 kg. Pour les sols : 1 bouchon (comme produits du commerce) pour un seau. Ne pas rincer. Vaisselle main : 1 bouchon dans l'eau (mettre des gants)
Lessive à la cendre content media
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